Sur les traces de Charles Masse, statuaire aubois, par Mme Myriam Provence, MA (2ème partie)
Notre collègue avait consacré sa communication du 15 novembre 2024 à la découverte de la personnalité du statuaire Charles Masse et à sa carrière militaire. Dans cette seconde partie, elle s’attache à retracer sa carrière d’artiste.
Elle rappelle comment il fut formé à la sculpture ornementiste dans l’atelier parisien d’Eugène Piat, son apparition dans les salons artistiques, ses relations avec la Société artistique de l’Aube.
Elle relate ensuite les différents lieux d’implantation de ses ateliers, à Paris puis dans l’Aube, et la nature de sa production artistique dans le domaine de la céramique.

Elle rappelle enfin la générosité dont il fit preuve à l’égard des associations troyennes.
Elle conclut en rappelant que « Charles Masse avait un caractère difficile … ; c’était un homme entier, un militaire avec une âme d’artiste dont la production reste à découvrir. »



Les bio carburants, par Jean-François Rubin, MA
Nos sociétés du 21ème siècle sont confrontées à la pollution engendrée par l’utilisation de l’énergie fossile et par la limitation des ressources de cette énergie. En matière de transport routier, le recours aux biocarburants, issus de la distillation de plantes (qu’il faudrait donc plutôt nommer « agro-carburants »), a semblé apporter un début de solution à ce problème. Mais il apparaît aujourd’hui comme un expédient, car les surfaces de terres disponibles pour la culture de ces végétaux ne permettent de couvrir que partiellement les besoins en carburant, et l’accroissement de ce type de culture serait lui-même source de pollution, de déséquilibres économiques, de bouleversements géopolitiques.
Notre collègue conclut ainsi son exposé : « Plutôt que de nous bercer d’illusions, continuons donc à chercher d’autres solutions. Cette recherche est certes le rôle des spécialistes, et les décisions celles du politique… Il y a cependant une responsabilité qui concerne chacun d’entre nous :
ÉCONOMISER L’ÉNERGIE ! »

